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En 1997, avec la série Tati commandée par les magasins du même nom pour leur 50ème anniversaire, Samuel Fosso poursuit son travail sur l’autoportrait avec le passage à la couleur, le mettant dans des rôles de composition de plus en plus diversifiés : marin, travesti en femme, pirate ou joueur de golf. La dissimulation et la mascarade, dans des décors mis en places, sont utilisées à des fins critiques : il se sert de son image et du déguisement pour exprimer des thématiques identitaires. Il se joue des clichés occidentaux ou encore de la politique.

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